Istanbul Diaries #1 : une promenade en ville

16

 

J’aimerais vous parler d’Istanbul, dans une série de 3 articles.
Je vous propose de découvrir cette ville mythique.
Aujourd’hui, on va parcourir les sentiers traditionnels
puis on commencera à naviguer vers des coins plus secrets.
Dans les prochains articles, on voguera sur le Bosphore et on fera une escale sur des îles étonnantes !

fioriture

Entre Istanbul et moi, c’est une longue histoire, une très longue histoire faite de coup de foudre et de découverte, de séparation et de retrouvailles. Je l’ai d’abord découverte à travers les yeux d’un enfant, au cours d’un voyage en famille, ensuite comme un touriste, venu faire une nouvelle visite, puis en immersion en y posant mes valises pendant plusieurs mois, et enfin comme un adulte qui reviendrait voir une tante régulièrement. Je ressens pour Istanbul un lien particulier que je ne partage avec aucune autre ville au monde et c’est parfois dur à expliquer à mon entourage : Qu’est-ce qu’a Istanbul de plus que les autres ? C’est quoi ton truc avec Istanbul ?…

Alors, honnêtement, je ne peux pas l’expliquer. Parfois, il est tout simplement difficile voir impossible de trouver les mots exacts pour décrire une sensation aussi simple soit-elle. Je crois qu’Istanbul est une ville spéciale, je connais peu de gens (voire personne) qui soit revenu d’Istanbul déçu ou avec une opinion négative. Elle doit avoir un impact sur ses visiteurs, elle ne laisse pas indifférent. Peut-être du fait de sa position géographique particulière, de sa situation presque schizophrène entre deux civilisations, Istanbul intrigue, elle est fantasmée et rêvée, convoitée et admirée. Porte de l’Orient, trait d’union entre Europe et Asie, capitale mythique d’un empire, capitale symbolique de tout un pays… cette ville réveille les fantasmes des voyageurs depuis plusieurs siècles. Ou alors c’est autre chose. C’est peut-être rien de tout cela. Tout simplement, j’aime Istanbul car c’est une ville où je me sens bien, presque comme à la maison… et que j’adore leur gastronomie.
.

ÊTRE À ISTANBUL, C’EST PRESQUE
COMME ÊTRE À LA MAISON

Alors j’avoue, je vous parle d’Istanbul à l’heure où la Turquie semble moins aimée, montrée du doigt et qu’elle inquiète de plus en plus. Je l’admets, vu de l’extérieur, c’est dommage mais on a plutôt envie de poser ses valises ailleurs : le terrorisme, la situation politique et tout ça ont une fâcheuse tendance à agir comme un épouvantail et je peux le comprendre.

Pourtant, Istanbul reste une ville sûre, une ville où vous serez accueillis bras ouverts, une ville où vous pourrez découvrir chaque recoin jusque tard dans la nuit sans craindre pour votre sécurité.

Mais là tout de suite, je n’ai pas envie de laisser cette fichue politique ternir l’engouement que j’ai pour cette ville et ce pays, j’ai juste envie de vous parler d’Istanbul telle que je l’ai connue et telle que je l’apprécie alors prenons un loukoum (ou plusieurs si vous voulez) et partons nous perdre dans ses bazars, ses rues et ses quartiers, entre circuits traditionnels et sentiers oubliés…

.

.

.

Commençons par une visite traditionnelle d’Istanbul,
ses endroits les plus connus et les plus touristiques.

.

.

.

SAINTE-SOPHIE,
LE SYMBOLE DE CETTE VILLE

Probablement le lieu le plus emblématique de la ville
et sûrement le plus visité.
Sainte-Sophie est superbe, ne manquez surtout pas sa visite !

.

.

Il est fort probable que le premier endroit où l’on se rend dès qu’on arrive à Istanbul, la première visite que l’on fait, c’est Sainte-Sophie dont le nom grec Haghia Sofia signifie sagesse de Dieu. L’église devenue mosquée devenue musée agit comme un aimant et est le centre névralgique du tourisme à Istanbul !

Saviez-vous que la conquête de Constantinople s’était jouée sur un simple détail ? Les remparts entourant la ville étaient réputés infranchissables et les Ottomans, installés sur l’autre rive du Bosphore, là où se trouve le quartier d’Üsküdar, ne pouvaient qu’observer cette ville imprenable. Et un jour, un soldat ottoman remarque dans la muraille une porte, une simple petite porte qui n’avait pas été close. Et c’est là que tout a basculé… Si cette histoire vous intéresse, je vous recommande vivement de lire l’excellent livre de Stefan Zweig, Les Très Riches Heures de l’Humanité.

Et l’Histoire s’est écrite comme on la connaît : Constantinople conquise, la basilique Sainte-Sophie, symbole de la ville et de l’Empire Byzantin, est transformée en mosquée en 1453 immédiatement après la prise de la ville. En 1934, Atatürk décide de “désaffecter le lieu de culte pour l’offrir à l’Humanité

Faisant face à Sultan Ahmet, la mosquée bleue, sa silhouette et ses minarets se voient depuis la mer. À l’intérieur, elle est ornée de lustres, de mosaïques, de parois en marbre et d’inscriptions arabes. J’aime l’énergie qui se dégage de ce lieu, ce côté cohabitation de deux religions dans la décoration et l’iconographie de ce monument qui est, je crois, unique au monde. Ici les mosaïques représentant le Christ ou la Vierge se tiennent à côté du nom d’Allah, de Mahomet ou des premiers califes.


.

.

Juste devant la basilique se trouvent des tombes, notamment celle du Sultan Selim II.
Vous pouvez les visiter (entrée gratuite) et admirer les faïences vraiment magnifiques.
L’entrée se fait sur le côté.

.

.

.

ISTANBUL ET SES BAZARS

Quand on pénètre à Mısır Çarşısı (le marché égyptien aussi appelé marché aux épices), on voit se dresser devant nous de nombreuses boutiques vendant loukoums, baklavas, épices, thés et savons. C’est un endroit que j’affectionne tout particulièrement, dès que j’y entre, mes yeux lorgnent les petites pyramides que forment les épices, les étals colorés et gourmands, tous ces loukoums aux mille et uns parfums. Si vous imaginez qu’il n’existe que les loukoums à l’eau de rose, détrompez-vous ! Il en existe des centaines et des centaines de sortes différentes. Quand on vient en Turquie, mieux vaut être gourmand car ça serait vraiment dommage de passer à côté de toutes ces saveurs.

Si vous souhaitez une plongée dans un marché oriental authentique, prenez les petites ruelles qui relient le marché égyptien à la mosquée Rüstem Pacha. En journée, ça grouille de monde et on y vend de tout.

Outre le marché aux épices, que serait Istanbul sans son Kapalı Çarşı, son Grand Bazar ? Construit dès 1455, il est le plus grand et le plus ancien marché couvert du monde et ses chiffres sont surprenants : plus de 4.000 boutiques réparties sur environ 200.000 m², 18 portes d’entrées, 58 rues… Il y a vraiment de quoi se perdre dans cette caverne d’Ali Baba !

Si vous souhaitez faire du shopping, rien qu’au Grand Bazar, vous pouvez tout acheter. D’ailleurs, si vous y allez le matin, vous aurez des chances de faire de bonnes affaires car selon une ancienne superstition, si le commerçant est généreux avec son premier client, la journée sera bonne ! Ah et sinon, c’est fermé le dimanche !

.

.

LES BAZARS D’ISTANBUL,
UNE BELLE PLONGÉE DANS
L’ÂME ORIENTALE DE LA VILLE

.

.

.

UN POISSON GRILLÉ,
LA CORNE D’OR & LE BOSPHORE

Quand vous sortez du marché égyptien, vous vous tenez face à la Corne d’Or, le pont de Galata qui l’enjambe (avec ses nombreux pêcheurs) et la tour de Galata, face à vous. Ce quartier appelé Eminönü est un des quartiers que je préfère, vivant et dynamique, il y a toujours de l’activité. J’ai toujours été fasciné par le va et vient des vapur, ces bateaux qui transportent les gens, tels des taxis, d’un bord du Bosphore à l’autre.

J’adore ce quartier car il donne l’impression que tout le monde transite ici. Il y a les arrêts de bus, l’arrêt du tramway, la mosquée, les restaurants de poisson sous le pont, les embarcadères des bateaux, le marché aux épices, les rues commerçantes des alentours… et les touristes. Alors quand on prend le passage sous-terrain, bordé des boutiques de vêtements de contrefaçon, pour traverser la route, mieux vaut ne pas avoir peur de la foule !

Et sinon, on peut y trouver d’excellents sandwichs. Je dois avouer, mon petit plaisir, c’est de manger un Ayvalık tostu (sandwich au poisson grillé) assis sur un banc face au Bosphore. Le poisson est grillé devant vous, sans graisse, glissé dans du bon pain avec sel et citron. Un régal 🙂

C’est d’ailleurs une de mes (nombreuses) habitudes quand je viens à Istanbul. Pour être tout à fait honnête avec vous, je crois pouvoir dire que la plupart de mes habitudes à Istanbul sont gastronomiques. J’ai mes repères, mes bonnes adresses et mes plats préférés qui parfois me manquent terriblement en France !

.

.

.

.

ADMIRER ISTANBUL D’EN HAUT
À LA TOUR DE GALATA

.

Pour moi, le plus beau panorama d’Istanbul. Une vue à 360° sur la ville historique, la Corne d’Or, les mosquées, la mer de Marmara, les ruelles étroites, les grandes avenues, les buildings de la partie moderne, le Bosphore, la rive asiatique… Tout ça du haut de cette tour !

.

.

.

LA PLUS BELLE VUE D’ISTANBUL !

Pour en profiter, il faut faudra attendre car la queue est souvent très longue pour y accéder et payer 25 TL. Petite précision : ne prenez pas de gros sac à dos quand vous montez, car il n’y a pas beaucoup d’espace pour circuler là-haut. Autre précision : l’accès se fait uniquement par ascenseur.

.

.

.

LES SUBLIMES MOSQUÉES D’ISTANBUL

Jusqu’à maintenant,
c’est à Istanbul que j’ai vu les plus belles mosquées.
Elles sont incontournables, ne les loupez pas !

.

.

.

Les mosquées d’Istanbul sont vraiment magnifiques. À l’intérieur, non seulement vous êtes surpris par l’impression d’espace et d’immensité qui s’en dégage mais vous serez également ébahis par la beauté des lieux, la finition des coupoles, les couleurs et les calligraphies.

Voici celles que je préfère et que, selon moi, vous devez absolument visiter si vous êtes à Istanbul :
Sultanahmet (la mosquée bleue)
Rustem Pacha
Yeni Camii
Süleymaniye Camii
– et la mosquée de Ortaköy.

.

.

.

.

.

ISTIKLAL CADDESI
& LE QUARTIER DE BEYOGLU

.

Autour de la Tour de Galata se trouvent des rues animées et totalement différentes de ce que l’on trouve du côté du quartier historique.
.

.

.

Les rues du quartier de Beyoğlu sont influencées par la présence des Européens dans les dernières années de l’Empire Ottoman : Français, Italiens et Grecs occupaient ce quartier. On y trouve une ambiance particulière, plus libérée que dans le vieux centre. Et il y a aussi la rue Istiklal.

Cette rue piétonne de plus de 3 kilomètres de long est un point de passage de la ville : les jours de weekend, pas moins de 3 millions de personnes y passent pour prendre des cafés, flâner dans les nombreuses boutiques et tout simplement pour se promener et rejoindre la célèbre place Taksim, au bout.

Une fois arrivés à Taksim, laissez-vous tenter par un ıslak hamburger, un petit humburger cuit… à la vapeur. Dit comme ça, ça fait pas rêver, mais qu’est ce que c’est bon !

Bon, je ne développe pas trop car j’aurai l’occasion de revenir sur le quartier de Beyoğlu dans un futur article 😉


.

.

.

Voilà un tour rapide du circuit touristique traditionnel à Istanbul.
Il y en a bien d’autres à rajouter mais je vous ai présenté les lieux que je préfère.
Désormais, quittons un peu les sentiers battus,
et découvrons d’autres facettes d’Istanbul.

.

.

BALAT, LE QUARTIER OUBLIÉ

Au nord ouest de la péninsule historique,
se trouve un quartier plein de charme : Balat.

.

.

BALAT,
C’EST UN AUTRE ISTANBUL

.

.

La plupart des touristes qui visitent Istanbul se content généralement des lieux présentés ci-dessus, très peu s’aventurent dans les rues du quartier de Balat et de Fener qui le jouxtent au nord-ouest. Et pourtant, ce sont deux coins d’Istanbul vraiment intéressants. À Balat, on trouve des bars et des restaurants. C’est un quartier qui plaira à ceux qui veulent s’éloigner de la foule et cherchent un côté plus authentique. Ici, c’est beaucoup plus calme. Ce quartier est surtout connu pour ses maisons aux façades colorées, notamment celles sur la première photo, dans une rue en forte pente.

.

.

 

..

.

Et sinon, si vous avez aimé l’intérieur de Sainte-Sophie,
je vous conseille de visiter le Kariye Müzesi, un musée
dans une ancienne église byzantine.
.

.

.

.

ARNAVUTKÖY
ET SES MAISONS DE BOIS

J’avais découvert Arnavutköy il y a bien longtemps, à l’occasion d’une croisière sur le Bosphore. Depuis le bateau, j’avais remarqué ces jolies maisons en bois, discrètement colorées, qui bordaient le rivage. Lors de mon dernier voyage à Istanbul, j’avais eu envie d’y retourner car c’est un des endroits que je préfère en dehors du centre ville.

Arnavutköy, c’est un quartier paisible, avec vue sur le Bosphore. Ses vieilles maisons en bois, comme figées dans le temps, rappellent une époque passée, une époque où les yalı, ces demeures au bord de l’eau, étaient construites par les aristocrates ottomans. Aujourd’hui, c’est un quartier qui semble un peu bobo, comme son voisin Bebek, mais il y a une ambiance vraiment tranquille et agréable. J’adore arpenter ses ruelles en pentes, chiner dans sa boutique de thé (Chado Tea Shop) et me promener sur les bords du Bosphore.

Alors, pour être honnête, il n’y a pas grand chose à y faire si ce n’est profiter d’un peu de calme et se promener dans tout un quartier fait de vieilles maisons en bois. Avec le chemin qui borde l’eau vous pouvez faire une ballade vraiment agréable jusqu’à Bebek et ses restaurants animés.

Une petite précision tout de même : il existe en réalité 2 Arnavutköy. L’un est un quartier d’Istanbul (dans l’arrondissement de Beşiktaş) au bord du Bosphore, l’autre est une petite ville aux portes d’Istanbul mais dans les terres.

.

.

.

.

Après avoir visité le quartier, prenez un en-cas et dégustez le sur un banc assis face au Bosphore ou rendez-vous dans un des restaurants pour le déjeuner. J’ai adoré le Emirgan Sütiş, un restaurant où pouvez déguster de délicieuses salades, de super petits déjeuners ou tout simplement prendre un thé ou un café.

.

.

Maintenant, on quitte Arnavutköy et la rive européenne
pour rejoindre la rive asiatique et les quartiers de Çengelköy et Kuzguncuk.

.

.

.

KUZGUNCUK & ÇENGELKÖY

Kuzguncuk, à quelques minutes en bus d’Üsküdar (bus n°15), a des airs de petit village. Les rues ombragées en pente sont fleuries et bordées de maisons colorées, c’est un endroit où on se sent bien et on peine à croire qu’à quelques minutes de là, Istanbul et le quartier d’Üsküdar sont en pleine ébullition.

Dans un cadre pareil, j’aime m’asseoir en terrasse et prendre un thé (que boire d’autre en Turquie ? ^^) ou prendre un casse croûte en observant la superbe vue sur le Bosphore depuis le haut du quartier.

AVEC ARNAVUTKÖY,
VOICI DEUX QUARTIERS D’ISTANBUL
DONT JE SUIS FAN !

.

.

.

.

Depuis Kuzguncuk, reprenez le même bus (n°15) et continuez jusqu’au quartier de Çengelköy. Là, c’est une toute autre ambiance, c’est vivant, c’est animé. Il y a une sorte de dynamisme dans ces quelques rues qu’on se sent vite porté par un certain entrain. Çengelköy a été une superbe découverte et j’adore y retourner. J’ai adoré ses boutiques, ses boulangeries, ses épiceries, ses cafés, sa magnifique vue sur le Bosphore, ses petits bateaux et son ponton en bois face au grand pont.

.

.

ÇENGELKÖY
M’A TROP FAIT CRAQUER

.

.

.

.

Vous voulez apprécier Istanbul autrement qu’en sillonnant son centre historique ? Visitez ces quartiers authentiques et encore peu touristiques !

Et ce n’est pas tout : embarquez aussi pour une sublime croisière sur le Bosphore pour découvrir d’autres quartiers surprenants et pittoresques d’Istanbul, et laissez-vous tenter par la découverte de trois superbes îles au large d’Istanbul, idéal pour une échappée d’un ou deux jours : panoramas et quartiers à croquer garantis !!

.

À très vite à Istanbul 🙂

.

.

Maintenant dites-moi tout :
Vous aimeriez aller à Istanbul ? Quels sont vos endroits préférés ?

.

16 COMMENTAIRES

  1. Génial ton article, on découvre des facettes de la ville qu’on ne soupçonnait pas comme les quartiers de Arnavutköy, Çengelköy & Kuzguncuk avec ces superbes maisons de couleurs et de bois!!! 🙂

  2. Tes photos sont sublimes ! Elles me replongent avec plaisir dans mes souvenirs d’Istanbul, que ton texte éclaircit peu à peu. Je retrouve les noms des quartiers que nous avons visités, leur ambiance particulière, leur identité. Merci pour ce joli partage 🙂 Tu m’as fait découvrir des endroits que je ne connaissais pas, j’ai maintenant une raison de plus pour mourrir d’envie d’y retourner !

    Mon endroit préféré : postée entre Sainte Sophie et la Mosquée Bleue, avec l’effervescence de fin de journée autour de moi. Ou bien dans ce petit café aux tables installées sur le bord de la chaussée, devant la Petite Sainte Sophie.

    • Merci pour ton commentaire, c’est adorable 🙂
      La petite sainte Sophie est un endroit vraiment agréable en effet, dans un quartier vraiment mignon.
      C’est peut être le moment de songer à y retourner 🙂

  3. Bonjour! Super article!! 👌je suis actuellement à Beyoğlu pour 1 semaine, culinairement parlant j’ai peur de louper qqch.. durum et autre kebab ok sa c’est fait mais me conseillez vous certaines adresses ou on peux bien manger (typique turc , se régaler en prenant le temps, pas un repas sur le pouce)? Vous qui connaissez si bien la ville jairao beaucoup aimer qq conseils 😀

    • Bonjour,
      Pour moi, quand on veut manger turc il faut d’abord commencer par le petit déjeuner turc, un régal ! À Beyoglu, il y a le Van Kahvalti Evi entre autres. Sinon, il faut tester les lahmacun, les pide, les böreks. Etant donné que ce sont des mets traditionnels et typiques de Turquie, on peut les trouver un peu partout, je crois que à Köşkeroğlu (à Karaköy) ils en proposent et de mémoire ils étaient bons 🙂

  4. Bonjour, merci pour toutes ces infos, c’est génial! J’envisage d’emmener mon mari en voyage surprise à Istanbul piur ses 40 ans et je me pose 2 questions : est ce que sur 4 jours ça peut marcher ou vraiment trop court pour s’imprégner de la ville?
    Et aussi : est ce que janvier est vraiment un mois que tu déconseillerais ? Nous n’avons pas peur du froid mais plutot de la pluie 🙂
    Merci pour tes conseils !
    Magali

    • Avec Istanbul à cette période, tu peux avoir de belles journées (fraîches mais ensoleillées) ou avoir pluie et/ou neige). En fait on sait jamais vraiment à quoi s’attendre ^^
      4 jours oui c’est déjà bien. Regarde aussi mes autres articles sur la ville pour sélectionner ce qui vous intéresserait le plus. Si tu as d’autres questions, n’hésite pas 🙂

  5. Et oui, tout à fait d’accord, Istanbul a quelque chose de spécial qui ne s’explique pas. Il m’a fallu du temps pour l’apprivoiser et l’aimer… Mais vraiment moi, Istanbul me rend maboule ! 😍 Et désormais dès que je veux m’échapper de la trop sérieuse Ankara, je file le week-end à Istanbul… Même si j’adore la rive asiatique et particulièrement Beykoz, j’avoue qu’Arnavutköy et Sarıyer me plaisent aussi beaucoup.
    Superbe article, merci ! 😉

  6. Merci pour ces articles et superbes photos.
    Pour moi, Istanbul est la Ville des Villes ( ma page Facebook ).
    J’y ai séjourné d’octobre 1975 à juillet 1977 et j’y suis retourné maintes fois. Maintenant, la dictature m’en éloigne !
    D’autres mosquées à visiter : Rustempaşa Camii près du Bazar égyptien et surtout Şakirin Camii à Üsküdar, inaugurée en 2009, sans oublier Takkeci Camii, tout près de Top Kapı, la porte du canon, le long des murailles terrestres ( y être au moment de la prière ).
    En avril, ne pas manquer le festival de la tulipe, surtout au Parc d’Emirgan.

  7. Sono stata a Istanbul circa 10 anni fa e mi sono innamorata di questa città, vorrei ritornarci. Le descrizioni e le foto molto belle ( scusate, so leggere e capire la lingua francese ma non so scriverla).

    • Ciao Cristina,
      Grazie per il tuo messaggio. Sono felice di sapere che ti è piacciuto questo articolo. Capisco e scrivo un po’ d’italiano, lingua che mi piace tanto 😊
      Buona giornata !

Qu'en pensez-vous ? Laissez un commentaire :)